Angelina & Kevin love for ever
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Forum de fan fiction consacré à la love story d'Angelina Veneziano & Kevin Fisher des feux de l'amour
 
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 Noel

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Angelina Fisher
Spectateur à un concert d'Angelina
Angelina Fisher


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Vos couples preferés dans le soap: Kevin & Angelina. Nick & Sharon. Christine et Michael. Victoria & Billy. Victoria & Ryan.
Si vous etiez un personnage des fda quel serait il : Michael Baldwin ou Christine Blair

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MessageSujet: Noel   Noel EmptyVen 13 Jan - 21:18


Kevin réussit à se relever et se précipita vers Angelina qui pétrifiait regardait au sol. Kevin la serra dans ses bras.
-         Il est mort, chérie. Devon est mort. C’est fini.
-         C’est fini c’est vrai ?
-         Oui, ma chérie.
Angelina se jeta dans ses bras en pleurs.
-         Kevin, j’ai eu tellement peur lorsque je l’ai vu lever cette pierre sur toi… je devais agir pour te protéger. Je n’ai pas réfléchi, j’ai revu le jour où il a essayé de me violer. Je ne pouvais pas me défendre ce jour-là alors quand j’ai vu le démonte pneu au sol, je l’ai saisi et lancé en l’air. Je n’avais pas l’intention de le tuer, je voulais juste qu’il lâche cette pierre, qu’il te lâche.
-         Je le sais, ma chérie, je le sais.
Kevin l’embrassa.
-         Comment es-tu arrivé ici ? Est-ce il t’a enlevé ?
-        En quelque sorte. Au départ je roulais en direction du centre commercial pour faire nos achats de dernières minutes pour les enfants lorsque je me suis rendu que j’avais un pneu crevé. Je suis sorti de la voiture pour le changer lorsque je fus ébloui par des feux de route d’une voiture qui fonçait sur moi. J’ai à peine eu le temps de me jeter sur le bas-côté que je reçu un coup sur la tête. Lorsque je me suis réveillé le lendemain j’étais sur ce toit. 
-         Sur la tête ? Kevin, mon Dieu, il faut d’urgence aller à l’hôpital faire des radios, tu pourrais avoir une commotion ou pire.
-         Je le ferai mais je veux d’abord rentrer chez nous serrer nos enfants dans mes bras. C’est noël, chérie, nous aurions dû être chez nous à chanter des chants de Noël avec nos enfants, Kevinella et Pheasant et mon frère avec Christine. Au lieu de ça nous sommes sur ce toit à cause de ce monstre, ce monstre qui m’a obligé de te téléphoner pour te dire les mots les plus dur que je n’ai jamais eu à prononcer. Il a menacé de s’en prendre aux enfants. Angelina, chérie, je n’avais pas le choix.  Pas le choix. J’avais un revolver pointé sur mon temple je devais obéir car je savais que si je ne le faisais pas il mettrait ses menaces à exécution. Alors je t’ai téléphoné. Chaque mot prononcé me brisait le cœur mais j’espérais au fond de moi que tu aurais suffisamment confiance en moi, en mon amour, notre amour, Angelina, pour comprendre que quelque chose n’allait pas et jamais, non jamais je ne vous aurais abandonné toi et les enfants.
Kevin l’embrassa.
-         Je t’aime, Angelina. Je t’aime plus que les mots peuvent le dire.
-         Pas une fois, pas une seconde, mon amour, je n’ai douté de toi. Tu m’as déjà prouvé plus d’une fois à quel point tu m’aimais et jamais tu ne nous aurais abandonné les enfants et moi. Lorsque tu n’es pas rentré la nuit dernière, j’ai cru qu’il t’était arrivé un accident. Je voulais aller à ta recherche mais Molly étant en Floride depuis Thanksgiving je n’avais personne à qui laisser les enfants. Aujourd’hui lorsque j’ai reçu ton coup de téléphone je n’étais pas seule : Michael et Christine étaient déjà là et Papa aussi. J’ai tout de suite compris qu’il se passait quelque chose. Ces paroles ne venaient pas de toi. Jamais tu n’aurais pu prononcer de tels mots. Jamais tu n’aurais pu nous quitter les enfants et moi. Kevin, mon amour, j’ai confiance en toi. Je t’aime.
Angelina plaqua ses lèvres sur celle de Kevin et l’embrassa langoureusement de longues minutes.
Ensemble ils regardèrent vers le bas et virent la police ramassait le corps. Angelina tressaillit et se blotti contre Kevin. Celui-ci lui donna un baiser sur sa tête.
-         Kevin, j’ai tué un homme.
-       Non chérie, c’était de la légitime défense : tu m’as sauvé la vie et celle de nos enfants. Si tu n’avais pas été là ce serait mon corps que l’on conduirait à la morgue. Tu m’as sauvé la vie, même si cela était mon rôle de te protéger.
Angelina le fixa dans ses prunelles.
-         Peu importe lequel de nous a sauvé l’autre : nous sommes un couple, une équipe. Nous nous sommes protégés l’un l’autre et protégé nos enfants.
Kevin l’embrassa.
-         Allez viens, rentrons chez nous.
-         Nous allons d’abord à l’hôpital. Je veux m’assurer que tout va bien.
-         Angelina, c’est noël !
-        Je vais appeler Papa pour lui demander d’emmener les enfants à l’hôpital : au moins les jumeaux.
-         Ça ira, mon amour, je te promets que ça ira.
-         Kevin, tu as reçu un coup à la tête, tu es resté évanoui je ne sais combien d’heure : je veux m’assurer que tu vas bien.
-         Chérie, c’est noël ! si nous sommes assez habiles nous serons de retour chez nous et présent demain matin au réveil des enfants pour voir la joie dans leurs yeux lorsqu’ils ouvriront leurs cadeaux. J’ai déjà perdu deux mois de la vie de nos enfants, tu te souviens ? Je ne veux plus en perdre davantage. Surtout pas un jour comme celui-ci. Je n’ai hélas pas tous les cadeaux dont ils rêvaient…
-         Ils t’auront toi et c’est le plus important.
Angelina l’embrassa.
-         Néanmoins je suis inquiète : ton coup sur la tête, ta perte de connaissance : j’aurais aimé te voir faire des examens pour m’assurer que tout va bien.
-         Je le ferai. Je te le promets, je le ferai mais demain. Sauf si tu as besoin de voir un médecin pour t’assurer que le bébé et toi allaient bien dans le cas contraire ce soir, pour ce qu’il en reste, j’ai envie de le passer avec toi et nos enfants.
-         Le bébé et moi allons bien mais, Kevin, fait moi une promesse. Promets-moi que dès le moindre signe d’alerte même si tu penses que ce n’est pas important, tu iras consulter.
-         Je te le promets. Angelina, je ne veux prendre aucun risque. J’ai l’intention de passer encore bon nombre d’année avec toi. Tu n’es pas prête à te débarrasser de moi, dit-il en souriant.
-      Tu n’as pas intérêt à me laisser, dit-elle en lui rendant son sourire et l’enlaçant pour l’embrasser.
Angelina toujours dans ses bras, Kevin regarda vers le sol où le corps sans vie de Devon avait été enlevé.
-         Allez viens, rentrons chez nous.
 
 
***
 
 
À Savannah Daisy était inquiète mais s’efforcer de ne rien montrer face à sa fille. Cette dernière, bien que ravie de ses nouveaux jouets, ne pouvait s’empêcher d’être triste. Daniel s’aperçut du mal être de sa fille.
-         Tu n’aimes pas tes nouveaux jouets ?
-         Si. Ils sont beaux : c’est exactement ce que je voulais.
-         Alors pourquoi es-tu si triste ?
-         Je ne suis pas triste. C’est juste…
-         Juste quoi, Lucy ?
-         Rien, Maman.
-         Lucy, tu sais que tu peux tout nous dire à Maman et moi.
-       L’année dernière nous étions avec Oncle Kevin et Tante Angelina. Gowan et Deidre étaient encore tout petits et Eleonore n’était pas encore née mais nous avions joué tous les trois avec Kevinella et Pheasant. Lorsque on est venue vivre ici ils avaient promis de nous téléphoner pour Noël mais ils ne l’ont pas fait.  Ils nous ont oubliés.
-         Lucy, non, je suis persuadé que ton oncle et ta tante ne nous ont pas oubliés. Ils nous appelleront peut-être demain.
Lucy secoua négativement la tête.
-         Ils n’appelleront pas parce que on ne fait plus partie de leur famille.
 
 
 
***
Kevin et Angelina regagnèrent leur maison. En ouvrant la porte ils tombèrent sur Angelo.
-         Vous partiez, Angelo ?
-         Papa ou vas-tu ?
En entendant la voix de leurs parents les enfants coururent se jeter dans leurs bras. Kevinella fit des joies et Pheasant bailla en faisant un mouvement gracieux de la patte.
-         Papa ! tu es revenu !
Kevin les souleva tour à tour.
-         Hey les petits monstres. Bien sûr je suis revenu, vous ne pensiez pas que je pourrais passer noël loin de trois petits monstres comme vous, loin de Kevinella et Pheasant et loin de Maman ?
Michael regarda son frère et s’aperçut quelque chose n’allait pas.
-         Tu vas rester avec nous, dis Papa ?
-         Papa où étais tu ? demanda Gowan.
-         Je ne veux plus que tu t’en ailles, Papa !
-        Deidre, Papa n’est pas parti. Il s’est absenté c’est tout et cela prit un peu plus de temps que prévu car il est tombé en panne en cours de route et il a dû beaucoup marcher.
-         Heureusement Maman m’a retrouvé et ramené à la maison. Allez, venez maintenant on monte tous ensemble voir Eleonore. Kevinella, Pheasant, vous venez ?
-         Alors le père noël a reçu notre mail de Gowan et moi.
-         Votre mail ? dit leur père.
-       Comme tu n’étais pas rentré de la nuit et Maman est allée à ta recherche nous avons ouvert ton ordinateur et avons envoyé un mail au père noël. Oui je sais tu nous as interdit de toucher mais Deidre, Eleonore et moi voulions vraiment ce cadeau. Même Kevinella et Pheasant le voulait.
-         Ce cadeau devait être vraiment très important pour braver l’interdiction de toucher à l’ordinateur de Papa.
-         Oui, Mama, il l’était.
-     Est-ce Maman et moi avons le droit de savoir ce qu’il disait où c’est top secret ?
-          Deidre, Eleonore et moi avons dit au père Noël que tout ce que nous voulions pour Noël c’était de t’avoir avec nous, Papa.
À travers ses larmes Kevin sourit et embrassa tour à tour ses enfants et sa femme.
Les enfants Fisher montèrent se coucher accompagnés de leurs parents et suivi comme à l’habitude par leurs fidèles compagnons. Quelques minutes plus tard Kevin et Angelina redescendirent main dans la main. Furibond Angelo l’attaqua.
-         Maintenant que nous sommes seuls vas-tu enfin nous dire où tu te trouvais un jour comme aujourd’hui ?
-         Kevin n’y est pour rien, Papa, s’il n’a pas pu être là pour le repas de noël
-      Princesse, arrête un peu de le défendre après ce qu’il t’a fait subir un jour comme aujourd’hui en t’appelant pour t’annoncer que tout étais fini entre vous ?
-         Ces mots m’ont brisé le cœur, Angelo, mais je n’avais pas le choix : je devais les dire à Angelina en priant pour qu’elle comprenne.
-         Comprendre, mais comprendre quoi ? Où étais tu passé ?
-         J’ai été enlevé, Michael, voilà ce qu’il y avait à comprendre.
-         Enlevé ? Mais par qui ? Comment ?
-         Devon. C’est lui qui a enlevé Kevin et menaçait de le tuer et tuer nos enfants si Kevin ne faisait pas ce qu’il disait, en espèce de m’appeler pour m’annoncer notre rupture.
-    Il avait tout prévu sauf une chose : c’était sans compter sur l’amour qu’Angelina et moi nous nous portons l’un l’autre et comprendrait tout de suite que ces mots ne pouvaient pas provenir de moi.
-         C’était tout de même risqué, très risqué. Angelina aurait pu te croire. Tu as eu de la chance de voir ton plan fonctionner, dit Christine.
-         En sommes tu as joué au poker avec les sentiments de ma fille et tu as mis sa vie délibérément en danger. Quel genre d’homme es-tu donc, Kevin Fisher pour faire une chose pareille ?
-         Quoi ? Angelo, où êtes-vous aller chercher une telle idée ? Jamais je n’aurais mis la vie d’Angelina en danger. Je l’aime l’auriez-vous oublié ?
-         Tu as une drôle de manière de le montrer. Tu lui téléphone en lui annonçant que tout est fini entre vous, que tu retournes avec ton ex et au final tu attends tranquillement que ma fille vienne voler à ton secours.
Angelo marqua une pause.
-         J’aimerais te poser une question, Kevin, une seule et unique question par laquelle une réponse par oui ou par non s’imposera. Est-ce tu aimes ma fille ?
Sa main toujours dans celle d’Angelina, Kevin resta stupéfait par les paroles prononcées par son beau-père pour qui il éprouvait un profond respect ainsi qu’une profonde amitié.
-         Comment pouvez-vous poser cette question, Angelo ?
-         J’ai dit une réponse par oui ou non.
-         Oui ! Oui ! évidement je l’aime !
-         Alors pourquoi lui avoir fait croire l’inverse ?
-      Je vous l’ai dit, Angelo, j’avais un revolver pointé sur mon temple si je ne faisais pas exactement ce que Devon me disait de faire il m’aurait non seulement tué et s’en serait pris à nos enfants qu’il aurait tué également. Dieu sait ensuite ce qu’il aurait pu faire à Angelina. Il l’avait déjà séquestré et tenté de la violer une fois. Je n’avais pas l’intention de laisser lui faire du mal à nouveau. Je devais la protéger et protéger ma famille.
 
 
***
 
À Savannah la petite Lucy était tristement partie se coucher. Après l’avoir bordé Daisy rejoignit Daniel dans le salon.
-         Elle dort ?
-     Oui. Tu peux enfiler ton costume de Santa Claus mais je doute que cela changerait quoi que ce soit pour elle. J’aimerais atténuer son chagrin le problème est que je ne sais pas comment je pourrais faire. Son cadeau le plus cher elle ne l’a pas eu et ne l’aura pas.
-         Moi je sais. Fait tes bagages et ceux de Lucy, nous partons tous pour Genoa City !
-         Quoi ? Tu es sérieux ?
-         Ai-je l’air de plaisanter, Daisy ?
-        Non mais qu’est ce qui te prend subitement ? Je croyais que tu voulais passer Noël à Savannah pour habituer Lucy à cette ville et puis tu oublies Emma : ne devrait-elle pas passer demain soir ?
-         Je vais lui laisser un message elle comprendra. Je commence à penser que tu avais raison il se passe quelque chose d’anormal chez Kevin et je veux savoir ce que s’est.
-         Qu’est ce qui t’a fait changer d’avis ?
-         Notre fille ! Kevin et Angelina avaient promis de l’appeler de lui passer ses cousins mais ils n’ont le pas fait. Par contre il y a eu ce coup de fil étrange d’Angelina.
-         Contente que tu le réalise.  
-         Il n’y a pas une minute à perdre. Le prochain vol pour Genoa City est dans moins d’une heure. C’est le dernier de la soirée tous les autres sont annulés en fonction d’une forte tempête de neige qui s’annonce dans toute la région.
-         Je préviendrai Ethan depuis l’avion.
 
 
***
 
-         Papa ! est-ce tu es devenu fou ? Comment ose tu parler à Kevin sur ce ton après tout ce qu’il a traversé ? Il a fait ça pour nous protéger les enfants et moi cela prouve à quel point il nous aime.
-     Non, Princesse, cela démontre simplement que ton mari joue avec tes sentiments comme l’on joue au poker : quitte ou double.
-         Et bien si c’est comme tu le prétends cela montre à quel point Kevin et moi tenons l’un à l’autre pour comprendre lorsque quelque chose ne va pas.
-         Angelo, j’ai plus d’une fois tendu des pièges à mon frère pour savoir si oui ou non il tenait à son mariage. Pas une fois il n’ait tombé dedans. Mais la question est, Kevin, que feras tu la prochaine si Devon retente encore quelque chose ? D’ailleurs où est-il ? Est-ce la police l’a arrêté ?
Angelina et lui échangèrent un regard.
-         Non la police ne l’a pas arrêté.
-        Il s’est enfui ?
-         Il ne s’est pas enfui. Il est mort.
-         Mort ? Kevin, que s’est-il passé ?
-      J’étais sur la route en direction du nouveau centre commercial quand sans que je sache pourquoi j’ai réalisé que j’avais un pneu crevé. Je suis alors garé sur le bas-côté pour le changer lorsque je fus ébloui par des feux de route d’une voiture qui fonçait sur moi. C’était Devon. Il est sorti de sa voiture et avant que je n’aie le temps de vraiment réaliser ce qui se passait il m’a frappé par derrière avec le cric à pneu. Lorsque je me suis réveillé je me trouvais sur le toit de ta résidence. Devon était debout devant moi. Un sourire de fierté.  Il était devenu complètement fou et ne cessait de répéter que j’avais gâché la vie d’Angelina et lui avait volé et qu’une fois je serai mort Angelina lui reviendrait. Quand j’ai voulu me lever je me suis trouvé mal mais j’avais néanmoins la force de parler. Nous nous sommes disputés car je ne voulais pas qu’il touche à Angelina. L’idée même que cette ordure puisse derechef mettre ses mains crasseuses sur ma femme me rendait malade. Alors nous nous sommes battus mais il était toujours plus fort. Après m’avoir obligé à passer ce satané coup de téléphone nous nous sommes encore battus et c’est alors qu’Angelina est arrivée. Lorsque nous avons entendu sa voix il a tenté d’abuser d’elle. Mon sang n’a fait qu’un tour. Nous avons commencé à nous battre et il est tombé du toit et s’est fracassé la tête.
-         Comment sais-tu qu’il s’est fracassé la tête ?
-       Cela me parait évident non ? Michael il a fait une chute de 137 mètres de haut n’importe qui faisant une chute de cette hauteur se bousillerait le crâne. 
Michael regarda son frère… soupçonneux.
-         Il n’y a rien d’autre ?
-         Rien d’autre, Michael. Je t’ai tout raconté.
-         Michael, je ne voudrais pas paraitre impolie mais il se fait tard, rien de cette veillée de Noël ne s’est passé comme nous l’avions espéré malheureusement nous ne devons faire avec. Kevin a besoin de se reposer.
-         Angelina a raison, il est tard, nous devrions les laisser un peu seul.
-         Merci, Christine.
-         Princesse…
-         Toi aussi, Papa. S’il te plait.
 
 
 
*** 
 
 
Ce n’est que lorsqu’ils furent seuls dans l’intimité de leur chambre à coucher blottit l’un contre l’autre qu’Angelina lui posa la question.
-         Pourquoi as-tu menti à Michael ? Est-ce à cause de mon père ? Parce que si c’est ça tu n’as rien à lui prouver.
-         Je n’ai pas menti. Devon est bien tombé d’un toit et s’est bien fracassée la tête.
-         À cause du démonte pneu.
-      Cela reste à prouver et puis cela a-t-il tellement d’importance au fond la façon dont il est mort ? Cette espèce d’ordure s’en est pris d’une fois prit à toi. Il a tenté par tout moyen de détruire notre mariage et pour finir a tenté de me tuer et a menacé nos enfants. Il est mort maintenant et ne pourra plus faire du mal à personne. Ce qui s’est passé sur ce toit devra rester entre nous personne ne devra jamais le savoir.
Kevin l’embrassa, la passion aidant ils firent l’amour.
 
 
***
 
À l’aube du lendemain les enfants se jetèrent dans les bras de leur père en le voyant.
-         Papa, tu es là !
-         Bien sûr je suis là je vous ai promis de ne plus jamais m’en aller. 
-         Toi aussi, Mama, tu vas rester avec nous ?
-      Bien sûr, chérie. Papa et Mama ne vous quitterons jamais et bientôt nous partirons tous vivre en Californie où naitra votre futur petit frère ou future petite sœur.
-         Mais on reviendra parfois ici ?
-         Gowan, je ne…
-        Gowan, bien sûr nous reviendrons. Je vous l’ai promis nous reviendrons voir Grand père, Tante Colleen et Tante Cassie. En attendant si nous allions faire une partie de boule de neige dans le jardin ?
-         Chéri, est ce que ?
Pour toute réponse Kevin l’embrassa sur ses lèvres, sa fille Eleonore dans les bras, l’attira dans le jardin, déposa Eleonore, la petite en profita pour ramper dans la neige, Kevinella gambadant tout du long à l’instar de Pheasant et la partie de boule de neige commença. Angelina occupée avec Eleonore tournait le dos à Kevin, ce dernier regarda ses enfants puis sa femme puis de nouveau ses enfants. Il sourit, se baissa et tout en jetant un coup de d’œil complice à ses enfants en leur faisant signe de se taire, forma une boule de neige qui lança sur le dos d’Angelina. Cette dernière se retourna l’air faussement fâchée.
-         Inutile de demander lequel d’entre vous a fait ça.
-         Je plaide coupable, votre Honneur et maintenant attrape-moi si tu peux.
Kevin se mit à courir dans le jardin sous les éclats de rire de ses enfants, les aboiements de Kevinella en voyant Angelina courir à sa recherche. Kevin se cacha derrière un buisson et lorsque Angelina arriva à sa hauteur il mit sa main sur son épaule et sortit de sa cachette et se mit à courir derechef, Angelina courant derrière lui simula un accident, avec la complicité de ses enfants, en se tenant la cheville. Inquiet pour sa femme Kevin s’apprêta à lui porter secours.  
-         J’ai gagné, dit-elle en riant.
-         Tu as triché !
-         Je sais. Donne-moi mon gage, dit-elle en ouvrant les bras où Kevin se blottit pour l’embrasser.
-         On va faire un bonhomme de neige !
-         C’est une excellente idée, reproduire Papa dans la neige.
-         Pourquoi pas Maman ?
Tout le monde éclata de rire.
Occupé par leurs jeux, les parties de rigolades ils n’entendirent pas sonner à la porte jusqu’à…
-         Vous devriez être plus prudent et fermer votre porte de garage à clé, dit Daniel taquin.
Angelina et Kevin se retournèrent et eurent la surprise de voir leur famille.
-         Tante Angelina, Oncle Kevin, Gowan, Deidre, Kevinella, Pheasant comme vous m’avez manqué, dit la petite en sautant dans les bras de son oncle qui l’embrassa.
-         Lucy, ma chérie ? Que faites-tu ici ?
-         C’est une façon de recevoir ton plus vieil ami et père de ta nièce, dit Daniel en riant.
-         Si tu n’es pas content de nous voir, dis-le tout de suite et on retourne à Savannah, dit Daisy sur le même ton.
Kevin reposa sa nièce au sol et alla serrer sa sœur et son meilleur ami dans ses bras.
-         Daniel, Daisy, Lucy, ma chérie, je suis si contente de vous revoir mais que faites-vous là ?
-         Vous aviez promis de m’appeler pour Noël mais vous ne l’avez pas fait. Oncle Kevin, Tante Angelina, vous ne nous aimez plus parce que on n’habite plus la même ville ?
-         Lucy, mon ange, où es-tu partie chercher une telle idée ? Ta tante, tes cousins et moi t’adorons, dit-il en lui donnant un baiser sur sa joue.
-         Ma chérie, je suis désolée mais ton oncle et moi avons eu un imprévu hier et nous n’avons pas pu t’appeler mais cela ne veut pas dire que l’on ne vous aime plus. Nous sommes de la même famille.
-         Papa, Mama, est ce que Oncle Michael, Christine, Grand-père et Fen vont venir ?
-         Quelqu’un me demande ?
-      Fen ! dire d’une même voix les enfants en se jetant dans les bras de leur cousin.
-         Joyeux noël, Fen !
-         Joyeux noël, oncle Kevin ! joyeux noël, tante Angelina.
-         Joyeux noël, Fen, tu pousses à la vitesse grand v. Je ne suis pas certaine que je t’aurais reconnu.
-         Tu vois qu’est ce je te disais, dit son père en souriant.
-         Oncle Mick, tu es là !
-          Vous ne pensiez tout de même que j’allais m’abstenir de venir voir des petits monstres comme vous ?
-          Hello, regardez qui j’ai trouvé sur le bas de la porte, dit Christine.
-          Tante Colleen, Tante Cassie, Oncle Dylan !
-          Hello, joyeux noël.
-         Où est Grand-père ?
-         Avec toute cette neige autour de la maison Grand-père a dû se perdre en route. Je vais le chercher.
-         Mais tu vas revenir, dis Papa ?
-         Bien sûr je vais revenir. Je vais juste chercher grand père et je reviens.
-         Kevin…
Kevin regarda sa femme et sorti de la maison.
-         En attendant Kevin et Papa, je propose que nous rentrions tous à l’intérieur prendre un lait de poule préparé par mes soins…
 
 
 
***
 
Angelo ouvrit la porte et se trouva face à son gendre.
-         Kevin ?
-         Angelo, je peux entrer ?
Angelo s’écarta pour le laisser passer.
-         Angelo, je suis venu vous chercher.
-         Me chercher pourquoi ?
-         Angelo, c’est noël, votre place n’est pas ici.
-         Tu veux me dire où est ma place ?
-         Chez nous avec votre famille.
-         Ma famille ? Quelle famille ?
-      Votre famille, notre famille, Angelo. Angelina, les enfants et moi sommes votre famille. Vos petits-enfants vous réclament.
-         Mais ma fille refuse de me voir.
-         Ne soyez pas stupide, Angelina vous aime et croyez-le ou non moi aussi je vous aime. Angelo, bien avant que je ne tombe amoureux d’Angelina, nous avons été complices puis amis. Aujourd’hui nous sommes de la même famille : je suis marié à Angelina et je l’aime plus que les mots peuvent le dire et je suis le père de vos petits-enfants, s’il vous plait ne les décevez pas. Hier ils ont failli se retrouver orphelin de père. Jamais je n’aurais mis la vie d’Angelina délibérément en danger. Je l’aime, Angelo, je l’aime comme un fou. Je donnerais ma vie pour elle. Angelo, s’il vous plait, j’ai promis aux enfants de revenir très vite alors je vais devoir rentrer mais je vous en prie, je vous en conjure, si vous ne le faites pas pour moi faites-le pour Angelina. Faites-le pour les enfants : vos petits-enfants. Ne les décevez pas.
 
 
*** 
 
Chez Kevin et Angelina la fête battait son plein. Tout le monde riait et s’amusait pourtant Michael semblait inquiet lorsque Kevin rentra à la maison. Les enfants courent à sa rencontre.
-         Papa, ou est grand père ?
-       Il n’était pas chez lui. Allez jouer à présent. Votre cousin et votre cousine sont venus de loin : allez donc jouer avec eux dans le jardin.
-         Et mettez vos manteaux !
-         D’accord, Mama.
Une fois les enfants hors d’atteinte Angelina reprit.
-         Il n’a pas voulu venir ?
Kevin soupira.
-         Il n’a dit ni oui ni non.
-         Chéri, tu n’as rien à te reprocher, tu n’avais pas le choix, si tu ne m’avais pas appelé il aurait tué nos enfants. Allez viens et profitons de nos invitées surprises.
-         J’aurais aimé que ton père soit là afin que cette fête de Noël soit parfaite.
-         Elle est parfaite puisque tu es là en bonne santé et nos enfants aussi.
Kevin sourit et la serra dans ses bras en lui donnant un baiser lorsque soudain en entendit :
-         Ho Ho Ho.
Tout le monde leva les yeux en direction de la mezzanine et virent… le père noël ! Kevin et Angelina retrouvèrent le sourire en reconnaissant Angelo. Deidre qui n’était jamais à cours d’imagination lorsqu’il s’agissait de jouer à cache- cache entra en courant dans la maison afin de monter se cacher dans le grenier s’arrêta net en voyant le père noël.
-         Père Noël, tu as pu venir ?
-      Bien sûr j’ai pu venir, Deidre, tu ne croyais tout de même pas que j’allais oublier de passer.
-         Comment connais-tu mon nom ?
-         Grand-père ! s’écria Gowan en le voyant et se jeta dans ses bras.
-         C’est toi Grand père ? Qu’est ce tu fais habillé comme le père noël ?
-      Comme le père noël n’a pas eu le temps de passer hier soir alors il m’a demandé de l’excuser auprès de mes petits enfants en leur apportant des cadeaux à sa place.
-         Mais pourquoi t’habiller comme lui ?
-         C’est vrai pourquoi, répliqua Lucy.
Pour la première fois de sa vie Angelo se trouva embarrassé face aux questions de ses petits-enfants.
-      Voyant les enfants, vous savez très bien qu’on ne doit pas trop poser de questions au père noël.
-         Mais, Papa, c’est pas le vrai père noël puisque c’est Grand-père.
-         C’est vrai, c’est grand père on peut lui poser autant de question que l’on veut il répond toujours.
Ce fut Fen qui vint à sa rescousse.
-         Vous devriez pourtant savoir que tous ceux qui aident le père noël doivent s’habiller comme lui c’est la loi. N’est-ce pas, Papa, Christine, que c’est la loi ?
-         Fen a raison, les enfants. La loi dans le pays du Père Noël exige que tous ceux qui l’aide s’habillent comme lui.
-         Mais ici nous ne sommes pas au pays du Père Noël, Angelo, et ce dernier vous pardonnerait si vous redeveniez le grand-père des enfants d’autant plus qu’ils étaient impatients de vous voir.
-         C’est vrai, Papa a raison, on voulait que tu sois là, Grand-père sinon la fête n’aurait pas été complète sans toi.
Pour la première fois de sa vie Angelo eut les larmes aux yeux mais ne voulut rien montrer.
-         Grand père ou est Vig ?
-        À la maison, Deidre. Mais puisque je dois retirer ma tenue de père noël je reviens avec lui.
-      On t’attend pour le lait de poule, Papa. Celui-ci c’est Kevin qui la fait personne ne le fait mieux que lui.
 
***
 
Daisy et Daniel regardèrent tour à tour Kevin et Angelina : intrigués. Kevin monta coucher la petite Eleonore. Daniel le suivi tandis que Daisy resta en bas et s’arrangea pour discuter avec Angelina. Afin d’aider sa fille à s’endormir Kevin lui chanta une berceuse mais la petite le regarda avec ses grands yeux et sourit.
-         Oui je sais je n’ai pas une si belle voix que Maman mais tu pourrais quand même faire semblant d’apprécier. Non ? Non. OK, je déclare forfait. Je vais demander à ta mère de me donner des cours de chants mais en attendant que dirais tu si Papa te lisais une histoire ? Oui, tu es d’accord ? Tu es d’accord ? super ! Là au moins je suis ton homme. Je laisse définitivement le chant à ta mère.
Il était une fois…
La petite finie par s’endormir. Kevin sortit sans faire de bruit de la chambre lorsqu’il se tamponna à Daniel dans le couloir.
-         Daniel, tu m’as fait une de ces peurs ! Qu’est ce tu fais à l’étage ? Les toilettes du bas étaient prise ?
-         Kevin, nous sommes amis n’est-ce pas ? La distance entre nous n’entrave en rien notre amitié.
-         Non, bien sûr que non, répondit Kevin intrigué.
-         Alors si tu avais un problème tu me le dirais n’est-ce pas ?
-         Oui, je suppose que oui.
-     Kevin, j’ai longtemps douté de tes sentiments pour Angelina. Très sincèrement je ne pensais pas qu’elle s’adapterait à Genoa malgré son amour pour toi et je croyais sincèrement et honnêtement que tu serais mieux avec Chloe mais je me suis trompé. Angelina est une fille super et elle t’aime comme une folle. Vous avez fondé une famille. Ne gâche pas tout en courant après une chimère.
-         Daniel, de quoi parle tu ?
-         De ta séparation avec Angelina.
 
***
 
Au RDC la fête surprise de Noël battait son plein. Infatigable les enfants couraient et riaient suivi de leur fidèle compagnon Kevinella et Vig qui ne demandait lui aussi qu’à s’amuser.
Pendant ce temps-là Angelina était occupée à servir du café et du lait de poule lorsque Cassie entra.
-         Kevin m’en veut toujours à propos de ce qui s’est passé ?
-         Cassie, il ne s’est rien passé et il ne t’en veut pas.
-         Pourtant il ne m’a même pas adressé la parole tout au long de la journée. Toi non plus par la même occasion.
-       Cassie, je suis désolée. Nous sommes préoccupés Kevin et moi mais je te rassure cela n’a rien à voir avec toi.
Cassie n’eut pas le temps de répondre car Daisy débarqua
-         Angelina, que se passe t’il entre mon frère et toi ?
-         De quoi parles tu, Daisy ?
-         Kevin et toi vous n’envisagez tout de même pas de vous séparer ?
-        Vous séparer ? Kevin et toi, c’est une blague ?
-         Qu’est-ce c’est cette histoire dit Colleen qui venait d’entrer, pourquoi allez-vous séparer ? Ne me dit pas que Kevin est encore amoureux de Chloe ?
-         Kevin amoureux de Chloe ? non, non, c’est impossible. Lorsque j’ai déclaré mes sentiments à Kevin pas un instant il n’a prononcé le nom de Chloe. Il a été on ne peut plus clair il est amoureux de toi, Angelina.
-         Les filles, je ne comprends absolument pas ce dont vous parlez, Kevin et moi n’allons pas nous séparer où êtes-vous aller dénicher une telle idée ?
 
***
 
-         Ma quoi, fit Kevin abasourdi.
-         Ta séparation avec Angelina.
-         Daniel, j’ignore où tu es parti pêcher une telle idée ou si quelqu’un a lancé de fausse rumeur mais Angelina et moi n’allons pas nous séparer. Jamais de la vie.
-         Dans ce cas pourquoi n’as-tu pas passé le réveillon de noël avec ta famille ?
Kevin pâlit.
-         Comment es-tu au courant ?
-      Angelina a appelé Daisy hier soir. Sa voix était bizarre au téléphone et lorsque Daisy a voulu te parler Angelina a inventé je ne sais quelle histoire puis elle a raccroché. Je t’ai appelé je ne sais combien de fois mais tu n’as pas répondu. Tu avais promis à Lucy de l’appeler pour lui souhaiter un joyeux noël et tu ne l’as pas fait. Daisy et moi sommes arrivés à la seule conclusion qui s’impose : ta femme et toi traversaient des problèmes de couple.
Kevin, cela nous arrive à tous mais ce n’est pas une raison pour vous séparer. Vous avez une famille.
Kevin soupira.
-         Daniel, ce n’est pas ce que tu crois. Oui je n’ai pas passé le réveillon de noël avec ma famille mais pas pour les raisons que tu imagines. C’est bien plus compliqué que ça en a l’air. Mais sache une chose en tout cas : entre Angelina et moi tout va bien. Je l’aime : je l’aime plus que les mots peuvent le dire. Elle est ma force et mon repère dans la nuit noire.  Si je n’ai pas passé le réveillon avec ma famille c’est à cause de Devon. Il m’a enlevé et tenté de m’assassiner.
-         Quoi ?
 
 
***
 
-         Lorsque tu m’as appelé hier j’ai compris au son de ta voix que quelque chose n’allait pas. Lorsque j’ai voulu parler à Kevin tu n’as pas répondu et ensuite tu as raccroché.
-         Daisy, je suis désolée. J’aurais du tout expliquer lorsque vous êtes arrivés Daniel et toi mais tout s’est enchainé. Oui c’est vrai Kevin n’était pas là pour le réveillon de noël hier mais pas pour les raisons que tu imagines. Kevin et moi nous nous aimons. Nous nous aimons bien au-delà des mots. S’il n’a pas pu passer le réveillon de noël à la maison c’est uniquement à cause de cette petite ordure de Devon Hamilton.
-        Devon ? Qu’a-t-il à voir au milieu de toute cette histoire ?
-         Il a tout à voir, Colleen. Il a enlevé et tenté d’assassiner mon mari.
 
 
***
 
-         J’étais sur la route pour aller au nouveau centre commercial pour les derniers achats de Noël. Je n’étais pas arrivé à la moitié du chemin, je me suis aperçu que j’avais un pneu crevé. Je me suis garé sur le bas-côté et sortit pour le changer et c’est alors qu’une voiture a foncé sur moi. J’ai à peine eu le temps de me cacher dans les buissons et là quelqu’un m’a frappé sur la tête et je me suis évanoui. Lorsque je me suis réveillé, je ne savais pas où je me trouvais, c’est alors que je vis Devon. Il était assis en face de moi. Il souriait d’un sourire narquois. Il m’a menacé, menacé ma femme, mes enfants. Il m’a obligé à téléphoner à Angelina pour lui dire que je la quittais pour retourner avec Chloe. Chaque mot prononcé m’a déchiré le cœur mais je n’avais pas le choix : il menaçait de tuer mes enfants et je priais le Ciel pour qu’Angelina comprenne que ces mots ne pouvaient pas venir de moi. J’ai eu raison de croire en elle : en son amour pour moi. En notre amour. Angelina a compris mais j’étais loin de me douter alors serait qu’en plus de comprendre, qu’Angelina viendrait au lieu d’appeler la police.
 
 
***
 
-     Je me suis souvenue d’une application que Kevin avait installé dans nos téléphones après nos retrouvailles au Canada c’est ainsi que j’ai su qu’il se trouvait dans l’immeuble de Michael. Après avoir raccroché avec toi, Daisy, j’ai entendu le téléphoné de Kevin sonner. Cela venait du toit. Je suis aussitôt montée. Devon menaçait Kevin.
 
 
***
 
-     Devon était devenu complètement fou et ne cessait de répéter que j’avais gâché la vie d’Angelina et lui avait volé et qu’une fois je serais mort Angelina lui reviendrait. Quand j’ai voulu me lever je me suis trouvé mal mais j’avais néanmoins la force de parler. Nous nous sommes disputés car je ne voulais pas qu’il touche à Angelina. L’idée même que cette ordure puisse derechef mettre ses mains crasseuses sur ma femme me rendait malade. Nous nous sommes battus mais il était toujours plus fort. Après m’avoir obligé à passer ce satané coup de téléphone nous nous sommes encore battus et c’est alors qu’Angelina est arrivée. Lorsque nous avons entendu sa voix il a tenté d’abuser d’elle. Mon sang n’a fait qu’un tour. Nous avons commencé à nous battre et il est tombé du toit.
-         Oh mon Dieu et il est…
-         Mort.
 
 
 
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