Angelina & Kevin love for ever
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Forum de fan fiction consacré à la love story d'Angelina Veneziano & Kevin Fisher des feux de l'amour
 
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 Le Grand Depart

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AuteurMessage
Angelina Fisher
Spectateur à un concert d'Angelina
Angelina Fisher


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Age : 54
Localisation : Paris

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Vos couples preferés dans le soap: Kevin & Angelina. Nick & Sharon. Christine et Michael. Victoria & Billy. Victoria & Ryan.
Si vous etiez un personnage des fda quel serait il : Michael Baldwin ou Christine Blair

Le Grand Depart  Empty
MessageSujet: Le Grand Depart    Le Grand Depart  EmptyDim 9 Avr - 21:25


Kevinella aboya de toutes ses forces.
-         Que se passe-t-il ? Pourquoi Kevinella aboie t’elle ainsi ? dit Kevin à Angelina.
Angelina n’eut pas le temps de répondre qu’ils entendirent un crissement de pneus. Kevin regarda par la fenêtre…
-         Oh mon Dieu, Deidre !
Il descendit quatre à quatre les escaliers, sortit et se jeta sur sa fille lui évitant ainsi d’être heurté par une voiture.
Angelina arriva alors et poussa un hurlement de terreur pendant que Kevinella continuer d’aboyer.
-         Kevin !!!!!!!!!!!!
Kevin se releva sain et sauf. Deidre se réveilla brutalement de son sommeil.
-         Papa ? Mais qu’est ce je fais là au milieu de la rue ? Qu’est ce qui se passe ?
Angelina couru dans les bras de Kevin.
-         Est-ce ça va ?
Kevin l’embrassa tout en prenant sa fille dans les bras.
-         Je vais bien.
Kevinella s’approcha d’eux en remuant sa queue. Kevin la caressa.
-         Merci, ma belle Kevinella. Tu viens de sauver la vie de ta jeune mama.
Deidre était totalement désorientée lorsque son frère et Eleonore descendirent à leur tour.
-         Qu’est ce je fais- là ? J’ai fait quelque chose de mal ?
-         Non, mon bébé, non, tu n’as rien fait de mal, dit-il en l’embrassant.
-         Papa, Mama, que se passe-t-il ?
-         Tout va bien, Gowan, ne t’inquiète pas, chéri. Tout va bien. Ton père et ta sœur sont sains et sauf. Remontez-vous coucher tous les deux, j’arrive dans un instant. Je vais voir comment va Ewan.
-         Tu viens, Eleonore ? Kevinella, tu viens aussi ?
Kevinella regarda tour à tour Kevin, Angelina puis Deidre.
-         Va avec Gowan, ma belle Kevinella. Tu es un bon chien, ma fille, dit Angelina tout en lui donnant un baiser sur sa truffe.
-         Ouaf !
Kevinella monta joyeusement avec Gowan et Eleonore tandis qu’Angelina alla dans la nursery rendre visite à son plus jeune enfant avant de gagner la chambre de Gowan qui exceptionnellement la partager avec sa plus jeune sœur.
-         Qu’est ce elle a Deidre, Mama ? Elle est malade ?
-         Oui, chéri, on peut dire ça comme ça.
-         Elle est malade comme toi lorsque tu attendais Ewan ?
-         C’est différent, mon cœur.
-         Mais elle va guérir ?
Angelina ne répondit pas.
-         Mama ? pourquoi tu ne réponds pas ? Deidre ne va pas guérir ?
-         Si, chéri, ta sœur va guérir dès que Papa et moi serons ce qu’elle a nous ferons tout pour la soigner. Allez, essaye de dormir un peu maintenant.
-         Mama ?
-         Oui, chérie ?
-         Je veux pas que Deidre soit malade.
Angelina sourit.
-         Rendors-toi, mon cœur.
Angelina déposa un baiser sur le front de chacun de ses deux enfants puis sortit de la chambre et rejoignit Kevin et Deidre dans le salon.
Pendant ce temps, Kevin tentait tant bien que mal de faire parler sa fille encore choquée de s’être réveillée au milieu de la rue en chemise de nuit.
-         Deidre, tu vas me dire ce qui se passe ? Qu’est ce qui t’arrive, chérie en ce moment ?
-         Je ne sais pas, Papa. Je te promets, je ne sais pas ce que je faisais dans la rue en chemise de nuit. S’il te plait, ne soit pas fâché contre moi. Je te le promets, je ne recommencerai plus mais ne punit pas encore.
-         Encore ? Tu parles de la fois où je vous ai interdit à ton frère et toi de regarder vos dessins animés ?
-         Je regrette : j’ai été méchante avec Lucy et je regrette et je sais que j’ai été vilaine le jour je me suis tordue la cheville. Je vous ai désobéi à Mama et toi. Gowan ne voulait pas que je vienne, il disait que ce n’était pas la place pour une fille mais j’ai voulu le suivre en sautant moi aussi par la fenêtre et je me suis tordue la cheville, mais ce soir je n’ai pas fait exprès d’être au milieu de la rue. Je ne me souviens pas être sortie, mais je te le promets, je ne recommencerai plus : plus jamais !
-         Deidre, Lucy va bien et elle a oublié cette histoire et tu devrais en faire autant. Essaye de dormir un peu maintenant, nous reprendrons cette conversation demain.
-         Veux-tu que je laisse la lumière ?
-         Non, Mama, ça ira.
Angelina déposa un baiser sur le front de sa fille et sortit de la chambre en précédant Kevin.
 
Lorsqu’ils furent dans leur chambre à coucher, Kevin dit :
-         J’étais loin de me douter que cette vielle histoire la toucherait à ce point.
-         Moi aussi.
-         Ai-je été trop dur envers elle pour qu’elle soit si touchée ?
-         Tu n’as pas été plus dur envers elle qu’envers Gowan : tu les as punis de la même façon tous les deux…
Ils ne finirent pas leur conversation qu’ils entendirent derechef Deidre pleurer.
-         Non, non, s’il vous plait, non ! Je ne recommencerai plus. Promis.
Kevin et Angelina coururent dans la chambre de leur fille qui pleurait tout en se débattant dans son lit, les grands yeux ouverts.
-         Non ! Non ! s’il vous plait non ! Ne me laissez pas ! Je n’ai pas fait exprès, pas fait exprès. Ne me laissez pas, il fait si noir : j’ai peur du noir.
-         Deidre, mon bébé, calme toi : Mama est là, dit Angelina en s’asseyant sur le lit.
-         Je vous demande pardon.
L’enfant s’agitait dans tous les sens.
-         Deidre, mon bébé, calme toi : Mama est là. Mama est là.
-         Je suis là moi aussi, ma Princesse. Mama et Papa sont là. Réveille-toi, mon petit cœur.
La petite fille finit par se réveiller, le visage ruisselant de larmes et aperçut sa mère.
-         Mama ?
-         Oui, ma chérie, je suis là.
-         Ou est Papa ?
-         Je suis là, ma chérie.
Deidre se redressa dans son lit et jeta ses petits bras autour de la taille de sa mère et posa sa tête sur sa poitrine.
-         S’il te plait, ne laisse pas, je te promets d’être sage. Je ferai tout ce que tu voudras mais ne me laisse pas. Je ne vous décevrai plus Papa et toi : c’est promis, mais ne laissez pas. J’ai peur, j’ai tellement peur.
-         De quoi as-tu peur, mon ange ?
-         Ne me laisse pas dans ces tunnels il y fait si noir ! Je serai gentille avec Gowan, et je serai la meilleure grande sœur pour Eleonore et Ewan. Je serai une gentille fille pour Papa et toi mais ne le laisse pas !
-         Tunnels ? Quel tunnel ? De quoi parle tu, mon cœur ?
-         Chérie, de quoi parles tu ?
-         Les tunnels à New-York : ne me laissez pas là-bas. J’ai peur : j’ai si peur du noir.
-         Les tunnels ? Tu veux parler des tunnels du métro c’est ça ? Chérie, de quoi est-ce tu parles ?
-         Si je vous promets d’être gentille, de ne plus jamais sauter par la fenêtre, me tordre la cheville et me retrouver dans la rue en pleine nuit, même si pour celle-ci je ne sais pas comment j’ai fait, vous me garderez avec vous ?
-         Te garder avec nous ? Chérie, de quoi parles tu ? Évidement qu’on va te garder : tu es notre petite fille. Nous t’aimons.
-         Je vais venir avec vous en Californie ?
-         Bien sûr que tu vas venir avec nous en Californie ! C’est quoi cette question ?
-         Mais New-York, le métro, tu m’as emmenée avec toi à pour me punir.
-         Te punir ? Chérie ? Non ! Où es-tu partie chercher une telle idée ?
-         Gowan, Eleonore et Ewan sont restés avec Papa à la maison.
-         Mais parce que ils sont trop petits.
-         Gowan a mon âge.
-         Oui mais c’est un garçon : Mama voulait te montrer New-York, passer une journée avec toi.
-         Ce n’est pas parce que tu ne m’aime plus ?
-         Ne plus t’aimer ? Chérie, il m’est impossible de ne plus t’aimer. Je t’aime depuis bien avant ta naissance, je t’aime depuis le jour où Mama a appris qu’elle allait avoir un bébé.
-         Oui mais je n’étais pas encore méchante.
-         Mais, mon cœur, tu n’es pas méchante. Tu as fait une erreur en nous désobéissant, nous t’avons puni ton frère et toi et vous avons pardonné.
-         Mais la foule, le métro, les tunnels…
-         Chérie, New-York est une grande ville et pour aller d’un bout à l’autre parfois, souvent, les New-Yorkais prennent le métro. Si j’avais su que cela t’aurait fait si peur jamais nous ne l’aurions pris : nous n’y serions même jamais allées.
-         Deidre, pourquoi nous as-tu jamais rien dit ? Pourquoi as-tu gardé ça pour toi ?
-         Je ne sais pas, Papa.
-         À l’avenir si quelque chose te tracasse, viens nous en parler à ta mère ou moi.
-         Ça veut dire que vous me pardonnez ? Je vais rester avec vous ?
-         Mon cœur, il n’y a que dans ton imagination débordante où il a été question de t’abandonner mais pas un instant cela nous a traversé la tête. Ton père et moi t’aimons : nous t’aimons plus que tu ne l’imagines. Nous vous aimons, toi, Gowan, Eleonore et Ewan et même le jour où vous serez tous mariés et parents à votre tour nous vous aimerons toujours.
Deidre sourit.
-         Moi aussi je vous aime
-         Allez, tache de dormir un peu maintenant et surtout de faire de beaux rêves ! dit Kevin en l’embrassant sur son front.
Angelina et Kevin étaient sur le point de sortir de la chambre de leur fille lorsque celle-ci rappela sa mère.
-         Mama !
Angelina se retourna.
-         Oui, Chérie ?
-         Tu voudrais bien me chanter une de tes chansons comme tu faisais lorsque j’étais toute petite.
Kevin sourit.
-         Md, votre public vous réclame.
 
 
***
 
 
Angelina passa ses bras autour de la taille de Kevin et sa tête sur sa poitrine et se mit à pleurer.
-         Je n’ai rien vu venir, Kevin, je n’ai rien vu venir. Quel genre de mère suis-je pour n’avoir pas vu le mal être de notre petite fille ? Comment n’ai-je pas vu que New-York lui faisait peur à ce point ? Au point d’avoir pu penser que je voulais l’abandonner.
-         Tu es une excellente mère, Angelina. Ce n’est pas toi qui est en cause mais moi. J’ai été trop sévère avec notre fille.
-         Non ! Tu as puni Gowan de la même façon mais ce n’est pas lui qui était avec moi dans une ville aussi immense, ce n’est pas lui qui a traversé ces tunnels si sombres. Si j’avais été une meilleure mère j’aurais dû savoir que ce genre de chose peut être impressionnant pour une petite fille à l’imagination aussi intense que peut l’être Deidre.
-         New-York n’est pas le problème. Je crois que notre fille en a trop supporté depuis qu’elle est un bébé les problèmes se sont succédés : Devon, Chloe, encore Devon. Lorsqu’ils étaient tout petits quand tout le monde, tout le monde sauf toi, Mon Amour, tu as dû partir et les laisser seuls, tes hospitalisations : tout as dû se cumuler pour notre fille.
-         Lorsque nous étions à New-York je n’avais rien acheté pour elle en sa présence, je pensais lui offrir lorsque nous serions installés dans notre nouvelle maison à Los Gatos mais peut-être ai-je fait une erreur de jugement ? Peut-être devrais je lui remettre maintenant ?
Kevin sourit.
-         Je lui parlerai de sa chambre mais sans lui montrer, juste affuter sa curiosité.
Angelina sourit.
-         Elle va être folle de joie.
-         Je l’espère. Je veux pouvoir me rattraper et que notre fille sache combien je l’aime.
Angelina l’embrassa.
 
 
***
 
La nuit se termina sans drame. Rassurée par ses parents Deidre finit par s’endormir paisiblement.
Le lendemain matin la petite famille respirait la joie de vivre. Gowan et les plus jeunes ne s’étaient rendu compte de rien et Deidre avait enfin retrouvé son sourire. En voyant ses parents Deidre alla vers eux et tendit ses deux petits bras autour de leur taille. Kevin la souleva dans ses bras et l’embrassa.
-         J’ai une bonne nouvelle : notre maison en Californie est enfin totalement terminée ! Nous allons pouvoir y emménager.
-         Et Mama recommencera à chanter ?
-         Elle a plutôt intérêt, tu ne crois pas, Deidre ? dit Kevin en souriant.
-         Oh oui !
-         Oh mais le reste de la famille a aussi son mot à dire, dit Angelina en riant.
-         OK, alors passons au vote, dit Kevin : que tous ceux qui sont pour que Mama recommence à chanter lève la main et dise oui ! Ewan étant trop jeune pour se prononcer je voterais donc à sa place.
-         Tricheur !
-         Je sais, dit-il en lui donnant un baiser ses lèvres.
-         Ok, bon alors passons au vote. Que tous ceux qui veulent voir Mama rechanter lève la main en disant « oui » !
-         Oui ! firent en cœur quatre voix. Tandis que Kevinella jappa et Pheasant fit le gros dos en tendant une de ses pates avant vers l’avant.
-         Quatre voix plus celle d’Ewan cela fait cinq. Mon Amour, je crains fort que tu n’aies pas le choix. Tes quatre enfants et moi sommes du même avis : tu dois chanter.
-         Kevinella et Pheasant aussi ont dit oui !
-         Tu vois ce que dis ta fille ? Même notre chien et notre chat sont d’accord.
Angelina se mit à rire.
-         Vous êtes fous à lier mais je vous aime.
 
 
***
 
 
Tandis qu’Angelina et Kevin discutaient de leur prochain déménagement en Californie, la petite Deidre alla vers eux en enrôlant ses bras autour des jambes de ses parents. Angelina sourit, se pencha pour prendre sa fille dans les bras et l’embrasser avant de la reposer.
-         On ne va pas à Chicago ?
-         Non, Chérie. Nous n’irons nulle part tant que tu auras peur. Un jour peut-être nous irons et peut-être même retournerons à New-York, juste toi et moi ou en famille mais nous le ferons lorsque tu seras prête et uniquement lorsque tu le seras.
Deidre sourit.
-         Sauf si ta mère se produit à Broadway et nous irons tous ensemble.
Angelina rit.
-         N’écoute pas ce que Papa dit, mon ange, il dit des bêtises. Ma carrière est au point mort ce n’est pas demain que je ferai l’affiche à Broadway, même pas une ouverture !
-         Mais Papa va s’occuper de toi maintenant, pas vrai, Papa ?
-         Oui, ma chérie, je vais m’occuper de Mama.
-         Alors tu vas y arriver et ce jour-là, je te le promets, je n’aurai plus peur d’aller à New-York.
-         Je t’aime, ma chérie, dit-elle en la prenant dans ses bras pour l’embrasser.
-         Moi aussi je t’aime, Mama.
-         Et moi ? je n’ai pas droit à un baiser de ma Princesse ?
Deidre rit et tendit ses bras à son père qui la prit.
-         Je t’aime, Papa !
-         Moi aussi, mon cœur, je t’aime, dit-il tout en se penchant pour la soulever et l’embrasser. Je t’aime, mon bébé, surtout n’en doute plus jamais et même si à l’avenir il m’arrivera de te gronder lorsque tu auras fait une bêtise, ce qui ne manquera pas d’arriver, je t’aimerai toujours. Allez, file rejoindre ton frère et ta sœur, ta mère et moi avons encore des choses à voir avant notre prochain départ pour la Californie.
-         Kevinella et Pheasant viennent avec nous ?
-         Bien sûr ! ce sont des membres de notre famille au même titre que toi, tes frères ou ta sœur.
-         Je suis contente.
-         Allez maintenant file ranger tes jouets ! dit sa mère.
 
 
***
 
 
Une fois seul Kevin serra Angelina dans ses bras qui semblait pensive.
-         Est-ce ça va ? Tu sembles préoccuper ?
Elle sourit.
-         On ne peut rien te cacher ! Tu lis en moi comme dans un livre ouvert.
-         Alors dis-moi ce qui se passe.
-         Rien de grave, c’est juste…
-         Juste quoi ? Pourquoi t’arrêtes-tu ?
-         Cela fait bizarre de voir cette maison se vider petit à petit. Bientôt elle ne sera plus qu’un souvenir pourtant elle fut notre premier foyer, c’est ici que tu m’as avoué ton amour à un moment où je n’espérais plus. C’est ici où tu m’as fait l’amour pour la première fois, où sont nés nos enfants.
Kevin la serra dans ses bras et l’embrassa.
-         Je t’aime, chérie. Cette maison me manquera à moi aussi : jamais je n’oublierai tout ce que nous y avons vécu. Comment pourrais oublier notre premier baiser, notre première fois, la naissance de nos enfants. J’ai souvent imaginé voir Deidre et Eleonore descendre les marches avec au pied de l’escalier leur chevalier du jour attendre pour les conduire au bal de la promo. J’ai souvent imaginer nos fêtes de famille autour de notre table de salle à manger avec nos enfants et nos petits-enfants. Tu t’en souviens je t’en avais parlé le jour où nous avons fait l’amour pour la première fois ?
Angelina sourit.
-         Nous vivrons tout ça à Los Gatos. Et tu me dois un bain de minuit ne l’oublie pas.
-         Tout nu ? dit-il malicieusement.
-         Je ne l’imaginais pas autrement.
Kevin sourit et la serra encore plus fort.
-         Alors Los Gatos ?
-         Los Gatos. Pheasant m’a dit avoir hâte d’habiter une ville qui s’appelle « chat »
-         Ah vraiment elle t’a dit ça ? Tu comprends la langue des chats maintenant ?
-         Bien sûr qu’est ce tu crois ? Tu ne le savais pas ?
Kevin rit.
-         Je t’aime.
-         Moi aussi, je t’aime.
Ils s’embrassèrent.
-         Cette maison me manquera bien sure : comment pourrais-t-elle ne pas me manquer tant elle est emplie de souvenirs, mais nous en fabriquerons d’autre dans notre maison à Los Gatos.
-         Je sais.
Kevin glissa ses mains autour de sa taille et la serra contre lui.
-         Tu sais ce que je crois ? Je crois que les souvenirs c’est nous qui les fabriquons et tant qu’on sera tous les deux entourés de notre tribu, nous serons heureux.
Angelina l’embrassa.
-         Que font les enfants ? demanda t’il entre deux baisers.
-         Nous sommes tranquilles pendant un bon moment, répondit-elle en l’embrassant en retour.
Kevin la souleva du sol et monta les escaliers tout en continuant de l’embrasser, il ouvrit la porte de leur chambre, la referma, posa Angelina sur le lit avant de s’allonger sur elle.
-         Tu es tellement belle !
-         Je ne suis jamais sentie aussi belle.
Kevin la couvrait de baisers. Il glissa ses mains sur ses hanches, caressa sa peau puis glissa ses mains jusqu'à ses seins qu'il recouvrit totalement, les massa, éveilla les pointes pendant qu'il gémissait de plaisir aux caresses d’Angelina. Leurs mouvements avaient repris pleins et profonds. Puis une de ses mains quitta l'un de ses seins et descendit vers son clitoris pour le masser, afin d'apporter encore plus de plaisir à Angelina, autant qu'elle lui en donnait.
 
 
***
 
 
Une semaine plus tard la famille Fisher était sur le départ. Les déménageurs passés la maison était désormais totalement vide. Angelina et Kevin la regardèrent une dernière fois tandis que les enfants, Kevinella et Pheasant attendaient devant la voiture.
-         Ça va, ma chérie ?
-         Oui, mon Amour, je vais bien. J’étais juste en train de me souvenir de la première fois où tu m’as dit que tu m’aimais. Je n’avais pas voulu te croire alors.
Kevin rit.
-         Oui, je m’en souviens ! Tu es sortie prendre l’air après t’avoir avoué mon amour.
Angelina rit à son tour.
-         Reconnais qu’il y’avait de quoi : nous nous étions mariés pour de mauvaises raisons et au moment où je m’apprêtais à te rendre ta liberté, soudainement tu n’en voulais plus et tu disais être amoureux de moi. J’étais déconcertée je ne savais plus quoi penser alors je suis sortie prendre l’air mais j’ai fini par revenir car s’il y’avait une chance, ne serais qu’une toute petite chance pour que je puisse passer ma vie avec toi alors je me devais de la saisir.
-         Et tu as eu raison : nos quatre enfants, notre chien et notre chat sont là pour le prouver.
-         Et maintenant nous entamons un nouveau chapitre de notre vie : une vie à Los Gatos. Los Gatos : c’est là où naitra notre futur bébé.
Kevin lui fit face intriguée.
-         Angelina, mon Amour, serais tu enceinte ?
Angelina passa ses bras autour de son cou.
-         Mon amour, je t’ai promis que nous aurons notre stade de super Bowl et nous l’aurons mais dans l’immédiat, j’aimerais attendre qu’Ewan ait atteint ses vingt-quatre mois avant de retomber enceinte. Tu es d’accord ?
-         Évidement je suis d’accord ! Quelle question ! Je t’aime, chérie, et je veux plus que tout autre chose au monde passer le reste de ma vie avec toi et ce quel que soit le temps qu’il me reste à vivre.
-         Kevin, ne parle pas ainsi !
Kevin sourit.
-         Je ne te savais pas superstitieuse.
-         Je ne le suis pas. Enfin pas la plupart du temps.
-         Ok, je ne recommencerai plus. J’ai bien l’intention de vivre encore très longtemps à tes côtés, lancer ta carrière, voir nos enfants grandir et terroriser tous les garçons qui s’approcheront un peu trop près de nos filles…
Angelina rit.
-         Mais surtout, Md Fisher, j’ai bien l’intention de passer encore de très longues années à vos côtés, dit-il en l’attirant vers lui pour l’embrasser.
Angelina passa ses bras autour de son cou et l’embrassa en retour.
-         Prête, Md Fisher ?
-         Prête, Mr Fisher !
Une fois dans la voiture, Kevin mit le contact regarda sa femme et ses enfants et s’écria :
-  Californie attention nous voilà !
-  La famille Fisher arrive ! s’écria Angelina.
-  La Californie n’a qu’à bien se tenir, s’exclama Deidre.
 
 
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